dimanche 21 avril 2013

Le tatou

Dans cet article, je vais vous parler d’un étrange mammifère, aux allures d’animal préhistorique appelé le tatou. Les tatous, qui se répartissent en vingt espèces différentes, vivent principalement en Amérique du sud ( tropicale mais aussi subtropicale). Le tatou est facilement identifiable grâce à son imposante carapace qui lui recouvre tout le dos ainsi que ses quatre membres qui sont aisément cachés sous cette coquille. 

Et, lorsque celui ci se met en boule, on ne peut observer qu’une carapace sans queue ni tête, à l’apparence de rocher. Cette carapace atypique est formée de différentes plaques osseuses articulées et protégées par de la corne. Mais la forme des plaques varie d’une espèce à l’autre. C’est pour cette raison que la carapace du tatou géant forme des bandes successives reliées par des replis de peau qui se modèlent au cours de son développement. Alors que d’autres possèderont une carapace composée de deux boucliers, l’un protégeant les épaules, l’autre les hanches, séparés par des bandes d’écailles dont le nombre varie selon l’individu.
Dans cet article, je vais vous parler d’un étrange mammifère, aux allures d’animal préhistorique appelé le tatou. Les tatous, qui se répartissent en vingt espèces différentes, vivent principalement en Amérique du sud ( tropicale mais aussi subtropicale). Le tatou est facilement identifiable grâce à son imposante carapace qui lui recouvre tout le dos ainsi que ses quatre membres qui sont aisément cachés sous cette coquille. 

Et, lorsque celui ci se met en boule, on ne peut observer qu’une carapace sans queue ni tête, à l’apparence de rocher. Cette carapace atypique est formée de différentes plaques osseuses articulées et protégées par de la corne. Mais la forme des plaques varie d’une espèce à l’autre. C’est pour cette raison que la carapace du tatou géant forme des bandes successives reliées par des replis de peau qui se modèlent au cours de son développement. Alors que d’autres possèderont une carapace composée de deux boucliers, l’un protégeant les épaules, l’autre les hanches, séparés par des bandes d’écailles dont le nombre varie selon l’individu.
Ces animaux de nature solitaire, se rencontrent aux périodes de reproduction. Une fois la femelle fécondée par son partenaire, l’ovule fertilisé patiente, plusieurs mois, au maximum sept, avant de s’implanter dans la muqueuse utérine pour commencer son développement. Ce phénomène d’implantation différée n’a lieu que si la survie des petits est mis en cause par un phénomène quelconque. Celui ci pouvant être une pénurie alimentaire ou une variation dangereuse du climat. Par contre, si aucun facteur ne s’oppose à son bon développement, l’ovule s’implantera directement dans la paroi utérine. Et, a partir de ce moment, la gestation durera environ 120 jours. 

A terme, la femelle met au monde quatre petits, dont le sexe varie selon les portées. A leur naissance, leur carapace est molle mais elle durcira vite. En général, les tatous cherchent à éviter leurs congénères. Étant donné que ces derniers parasitent leurs sources de nourriture. Cependant, ils ne font aucunement preuve d’agressivité envers les autres individus de leur espèce qu’ils croisent. Seuls les mâles défendent, en général, leur terrier, leur femelle et leur source de nourriture des autres mâles. Le poids et la taille des tatous ne sont pas standard et varient selon les différentes espèces.

Citons en quelques unes comme le tatou géant qui peut peser jusqu’à 55 kilos contrairement au tatou à neuf bandes qui avec ses quatre à huit kilos ne fait pas vraiment le poids. Il en est de même pour la taille. Celle de ce dernier, d’une quarantaine de centimètres peut être considérée comme grande comparée au plus petit tatou mesurant quinze centimètres mais peut aussi être tout l’inverse si on fait la comparaison avec le tatou géant faisant un mètre! Quand à leur longévité, je ne pourrais toujours pas vous donner un chiffre propre à toutes les espèces mais il n’est pas faux de dire que les tatous ont, pour la plupart, une dizaine d’années devant eux.




Mot de clé : Lamiaberrada

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